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Des milliers de Géorgiens ont défilé dans les rues de Tbilissi, la capitale, pour exprimer leur mécontentement face à la décision du gouvernement de suspendre les négociations d’adhésion à l’Union européenne jusqu’en 2028. Cette décision, prise un mois après des élections législatives contestées, a provoqué une vague de protestations à travers le pays.
Les manifestants, majoritairement pro-européens, accusent le gouvernement de saper les efforts du pays pour intégrer l’UE. Ils estiment que cette suspension est une trahison de la volonté du peuple géorgien, qui aspire à une plus grande intégration européenne.
La suspension des négociations est un revers majeur pour les aspirations européennes de la Géorgie. Le pays avait fait part de sa volonté d’adhérer à l’UE et avait entamé des discussions pour rejoindre le bloc. Cette suspension met en doute l’avenir de ces discussions et laisse planer une incertitude sur les perspectives d’intégration européenne du pays.
Les manifestations se poursuivent et la tension demeure palpable à Tbilissi. L’avenir des relations entre la Géorgie et l’UE reste incertain, et la pression sur le gouvernement pour qu’il revienne sur sa décision est considérable.
